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Leis­tungs­mes­sung

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Diese Seite ist Teil einer Ma­te­ria­li­en­samm­lung zum Bil­dungs­plan 2004: Grund­la­gen der Kom­pe­tenz­ori­en­tie­rung. Bitte be­ach­ten Sie, dass der Bil­dungs­plan fort­ge­schrie­ben wurde.


Ana­ly­se 1

Dans le roman « Un été ou­tre­mer », les Des­jon­quères di­sent ou­ver­te­ment que leurs deux en­fants, Féli­ci­en et Mat­hil­de, ont été adoptés. Et pour­tant, il y a des se­crets qui jou­ent un rôle très im­portant pour cette fa­mil­le.

Ana­ly­sez le rôle du se­cret dans le roman « Un été ou­tre­mer ».


So­lu­ti­on :

  • La nais­sance de Féli­ci­en est un se­cret car il est né sous x.
  • Il espère tout savoir avec son 18e an­ni­ver­sai­re et l’ou­ver­tu­re du dos­sier, mais il n’y trou­ve­ra que d’au­tres se­crets : que le nom de sa mère, un hôpital à Alger comme adres­se, pas d’in­di­ca­ti­ons sur son lieu de rési­dence ac­tu­el ni des in­for­ma­ti­ons sur son père.
  • Féli­ci­en ne dit rien à ses par­ents ; il part en cachet­te. Il in­for­me seu­le­ment très ra­re­ment sa sœur Mat­hil­de où il est et que tout va bien.
  • La mère bio­lo­gi­que de Féli­ci­en est morte sans révéler son se­cret à sa fa­mil­le ; c’est seu­le­ment Nadia, sa meil­leu­re amie, qui sait qu’elle a eu un en­fant. Mais elle n’a rien su du père et Sa­mi­ra ne lui a rien confié d’avan­ta­ge.
  • Féli­ci­en garde son se­cret pour lui ; sa grand-mère bio­lo­gi­que ni son demi-frère n’ont rien com­pris et il ne leur dira rien.
  • On ne sait pas si Omar a com­pris qui est Féli­ci­en. Mais vu son ca­ractère, il ne dira rien très pro­ba­ble­ment.


Ana­ly­se 2

Dans le roman « Un été ou­tre­mer », le pro­lo­gue est en fait l’entrée dans le jour­nal in­ti­me de Féli­ci­en du 20 août. Féli­ci­en vient de ren­trer de son ex­cur­si­on à Ti­pa­sa et ren­tre­ra en Fran­ce le len­de­main.

Ana­ly­sez le rôle de cette in­ver­si­on de la chro­no­lo­gie. Dis­cu­tez pour­quoi Anne Van­tal s’est décidé de lais­ser com­men­cer son roman par la fin.


So­lu­ti­on :

  • Par cet in­ver­si­on, le lec­teur se re­trouve de­vant un début « in me­di­as res », il se re­trouve tout de suite au plein mi­lieu de l’his­toire.
  • Le début du jour­nal emmène le lec­teur loin de la Fran­ce, rend cu­rieux, ap­por­te l’exo­tique.
  • En présen­tant la fin et donc le résul­tat du livre en pre­mier, le re­cours à ce que le prot­ago­nis­te a été avant cette re­cher­che, avant que l’his­toire ne se passe, de­vi­ent plus intéres­sant.
  • Bien que le lec­teur sache que Féli­ci­en se trouve à Alger à la fin de l’his­toire, il ne sait pour­tant pas com­ment ou si l’his­toire s’est dénouée. Le sus­pen­se est donc gardé voir aug­menté

 

Ana­ly­se: Her­un­ter­la­den [docx] [16 kB]