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Diese Seite ist Teil einer Ma­te­ria­li­en­samm­lung zum Bil­dungs­plan 2004: Grund­la­gen der Kom­pe­tenz­ori­en­tie­rung. Bitte be­ach­ten Sie, dass der Bil­dungs­plan fort­ge­schrie­ben wurde.

  • Lisez le pas­sa­ge Aris­to­te et la tragédie !
  • Ex­pli­quez les rai­sons pour­quoi la prot­ago­nis­te pour­rait aimer la tragédie!
    Eléments de réponse:
    • « Ac­tion dra­ma­tique » se ter­mi­ne par une si­tua­ti­on très mal­heu­reu­se, laquel­le susci­te chez le pu­blic des sen­ti­ments de pitié et de peur -> La prot­ago­nis­te est un peu dépres­si­ve, iden­ti­fi­ca­ti­on
    • La com­bi­nai­son lo­gi­que des péripéties de l'his­toire représentée dans la pièce -> type cérébral
    • Une tragédie représente des ac­tions, non des per­son­na­ges -> Les au­tres n’intéres­sent pas Anja.
    • Pas­sa­ge de l'ignoran­ce à la con­nais­sance, unité psy­cho­lo­gi­que des prot­ago­nis­tes -> La prot­ago­nis­te aime app­rend­re.
    • Le mal­heur doit être pro­vo­qué par une er­reur de ju­ge­ment plutôt que par un vice fon­cier -> Le mal est plutôt fai­ble.
  • Refléchis­sez s’il y a des par­allèles entre la struc­tu­re d’une tragédie grec­que et le récit L’âge d’ange ! Présen­tez vos résul­tats sous forme de ta­bleau.

la tragédie grec­que

L’âge d’ange

(ci­ta­ti­ons du texte)

(cor­re­spon­dan­ces)

une ac­tion séri­eu­se et complète en elle-même

On ne parle que de l’amitié entre Ta­de­usz et Anja.

des péripéties qui se ter­mi­nent par une si­tua­ti­on très mal­heu­reu­se, laquel­le susci­te chez le pu­blic les deux sen­ti­ments de pitié et de peur

La fin de l’amitié – la mort de Ta­de­usz – est tra­gi­que et susci­te la pitié.

Il n'y entre donc aucun in­ci­dent inu­ti­le à l'ac­tion

Le récit se li­mi­te à l’es­sen­ti­el.

la re­con­nais­sance, ou pas­sa­ge de l'ignoran­ce à la con­nais­sance

Cela cor­re­spond à l’aveu de Ta­de­usz qu’il est ho­mo­se­xu­el.

le per­son­na­ge doit être plutôt du côté du bien

valable pour Anja et Ta­de­usz

son mal­heur doit être pro­vo­qué par une er­reur de ju­ge­ment plutôt que par un vice fon­cier

L’ho­mo­se­xua­lité est con­sidérée comme “vice fon­cier“ par les agres­seurs, mais cela cor­re­spond à “une er­reur de ju­ge­ment“.

Ils doiv­ent enfin con­ser­ver une unité psy­cho­lo­gi­que d'un bout à l'autre de la pièce.

Tout le récit est la quête d’iden­tité d’Anja (unité psy­cho­lo­gi­que), mais elle chan­ge grâce à son amitié.

Il im­por­te que leurs ac­tions ap­pa­rais­sent comme les conséquen­ces lo­gi­ques de leur ca­ractère.

La mort est la conséquence du rôle de Ta­de­usz: il est im­mi­gré et ho­mo­se­xu­el. Cela pro­vo­que l’agres­si­on.

Con­clu­si­on : Il y a beau­coup d’éléments de la tragédie grec­que dans le récit.

Tragédie grec­que:
Her­un­ter­la­den [doc] [58 KB]
Her­un­ter­la­den [pdf] [23 KB]